Claude LELOUTRE

« Aux journées de la récolte d’huile, à peine as-tu commencé avec le matin que te voilà déjà au soir. »
Dicton libanais (Abela, 1985)

Voilà ainsi votre Claude, votre époux, votre père, votre grand père, votre abuelito, votre aimé, arrivé au soir de sa vie.

Alors, aujourd’hui, à La Gaude, devant cette Bergerie, je regarde les oliviers …

Et J’aime à me rappeler, ce beau dicton provençal si symbolique :
« L’olivier -comme le figuier- ne meurt pas sans héritier »
Quel plus bel emblème d’immortalité, d’harmonie et de paix que cet arbre qui porte en lui l’énergie apaisante
et dont l’huile baptise les nouveaux nés et apaise nos derniers soupirs par l’extrême onction.

Abuelita (je ne vous connais que sous cet affectueux nom), Denis, Béatrice, Vicky, Marthe, Lise, Mathilde, Antoine, Eugénie, Gabriel.
En de tels moments de douleur, les mots de réconforts semblent vides.
Alors, avec ces quelques "paraboles" je m’en sors en pirouette !

Soyez surs en tous cas que Fabrice et Moi, sommes simplement à vos côtés.

Corinne (Chichi)

Un grand Monsieur s’en va et avec lui la véritable bienveillance.
On garde en mémoire de nombreux moments d’échanges et de rires entre amis et notamment les bains dans les lacs de montage. Toujours prêt pour un coup de main, à Fayence c’est avec son aide que l’on a pu monter les poutres du toit, 50 ans après on s’en rappelle encore.
Bonne route Claude et plein de pensées à ta famille.

Ma chère Annie,

Déjà, petite fille, j'adorais Claude, il était adorable, dans le vrai sens du terme. Un grand monsieur, tout plein de gentillesse et de simplicité. Je suis très attristée par son départ.
De tout cœur avec toi et toute ta famille, Chaffrey et moi viendrons nous joindre à vous pour lui dire au revoir.
Je t'embrasse tendrement, du fond du cœur.

Florence